


Agôn
Re-création du 22 avril au 6 mai 2025 : anthéa, Théâtre d'Antibes (06)
Un péplum musical fou furieux
Apollon et Dionysos se disputent l’Hyperborée, la terre de toutes les richesses ; là où le climat est plus doux et où les hommes sont meilleurs. Un duel épique s’engage pour les départager. Place à l’Agôn ! Course, lutte, jeu de hasard, concours de virtuosité et joute verbale, les épreuves rythment cet affrontement sans pitié arbitré par Zeus et Artemis.
Tout semble opposer les deux frères : Apollon, symbole de la mesure et de l’harmonie, et Dionysos figure du chaos et de l’ivresse. Pourtant les Grecs ont su les rendre complémentaires. L’Agôn est à la fois un affrontement poétique, une compétition sportive et une confrontation comique. Le spectacle explore tour à tour les différents sens de ce terme grec : on rit, on tremble avec joie, on jubile avec effroi, dans la démesure de l’arène des Dieux.
Agôn s’inscrit dans l’exacte continuité du travail de création initié par la compagnie START 361°. La musique ne laisse aucune place à la demi-mesure. L’orchestration porte des intentions de jeu particulièrement larges et généreuses. Le contraste entre l’antique et le moderne permet une infinie liberté dans la composition. Les harmonies puissantes et solaires d’Apollon se disputent la transe psychédélique souterraine du culte de Dionysos. Mais qui sera votre favori ?
Distribution
Livret et musique Clément Althaus
Collaboration artistique Adrian Althaus
Assistante à la mise en scène & chargée de production Vanessa Anheim-Cristofari
Dramaturgie Christophe Calvia
Lumières Raphaël Maulny
avec Clément Althaus, Benoit Berrou, Jérémie Boumendil, Claudia Musso et Oriane Pons
Création originale de l’Opéra Nice Côte d’Azur en partenariat avec la Villa Kerylos, l’ARELAN et Start 361° (2015)
Création et tournées :
14 au 17 avril 2015 : Villa Kerylos, Opéra de Nice (06)
18 au 20 mai 2016 : Opéra de Nice (06)
Lors de la création en 2015, 13 représentations avaient eu lieu à la Villa Kerylos de Beaulieu. Dans cet environnement privilégié l’Hymne à Apollon tant étudié par Théodore Reinach (le commanditaire de la villa) avait une résonnance toute particulière






